AIT SAADA, mon village natal

AIT SAADA, mon village natal

Récits et Images de la lointaine Kabylie ou les Chroniques d'un terroir déchiré entre traditions et modernité.


Publibook et l'article en question

Publié par Idir AIT MOHAND ou Matricule S/5341 sur 14 Juin 2017, 14:33pm

 

Après avoir écrit et publié un article sur ce blog suite à un coup de gueule à propos des Editions Publibook, j’ai le plaisir de signaler aux personnes qui m’ont contacté par e-mail et par téléphone, que l’article en question est définitivement retiré de la toile. Son titre, qui avait apparu pendant quelques jours sur les moteurs de recherche et qui m’a valu la mise au point ci-après, n’existe plus.

Il est vrai qu’après huit ans d’existence, M’hend et ses épisodes continuent de me titiller. Je ne savais pas que ce roman autobiographique que j’ai fait paraître pour la première fois en 2009, allait me poursuivre et me faire regretter mon geste irréfléchi. Je m’en veux d’avoir précipité l’édition de ce roman qui mérite une réécriture afin de lui donner la place qui lui revient dans l’espace littéraire. Seulement, il se trouve que la lassitude a eu raison de ma volonté de revenir ou d’aller plus en avant dans cette aventure que j’ai archivée depuis bien longtemps.

N’était-ce le message du Service Marketing de Publibook, je ne serais pas revenu sur ce livre qui m’a coûté 550 euros pour 5 exemplaires seulement et à l’état brut. A travers ce message auquel je ne m’y attendais pas, Publibook m’a fait savoir que leur maison a évolué et changé et m’a proposé un forfait fixe de 499 euros pour corriger et rééditer mon roman. A cette proposition, j’ai répondu par une offre en ce sens :

« Il ne fait pas de doute que Publibook, à l’instar des autres maisons d’édition, a évolué et changé avec le temps. En effet, l’évolution que connaît le monde impose des changements tous azimuts qui, il faut le dire, ne sont pas toujours les bienvenus.

Je dois vous dire que 2009, année de publication de M’hend et ses épisodes, est loin derrière moi, tout comme je m’éloigne chaque jour un peu plus de l’intérêt que suscite l’argent en général.

Aussi, je vous fais cadeau de mon roman qui est arrivé trop tôt pour mériter sa place parmi ses congénères, ou trop tard pour être réfléchi, revu et corrigé comme c’est d’usage.

Bien qu’étant dans le besoin, l’argent ne m’intéresse plus car mon avenir est déjà derrière moi.

La seule proposition que je vous fais, c’est de reprendre mon roman, de lui donner une apparence acceptable dans sa mise en page, de le corriger et de le mettre en vente pour 1 euro symbolique dont la totalité des sommes sera reversée aux œuvres de bienfaisance.

J’espère que vous m’avez compris dans ma démarche, non pas promotionnelle, mais juste d’intérêt général.

Cordialement,

Idir AIT MOHAND, citoyen du monde ».

Par le biais de cet article, je réitère publiquement mon offre et demande aux Editions Publibook de m’épargner toute publicité promotionnelle dont le seul souci est ce nerf de la guerre qu’est l’argent. Je n'ai rien à vendre, ni à acheter, sauf ce qui représente un bien immatériel dont j'en fais mon principal crédo. Si ma proposition venait à se concrétiser, ce qui m’étonnerait beaucoup, j’adresserais un trop plein de coups de cœur à mon premier Editeur à qui je lance le défi de gagner cette gageure. Allez chiche !

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